« La question est de savoir si les géants sont dans la silicon valley plutôt que dans le Luberon à cause des contraintes de règlementations imposées en France. »
Mais non… C’est beaucoup plus profond que ça. Ça tient globalement (pour faire vite) au regard que les 2 pays portent sur l’innovation et la réussite (et accessoirement à la taille du marché « domestique », à l’usage généralisé de l’Anglais dans le monde et à la qualité de la formation).
Tant que les universités françaises considéreront comme un échec le fait qu’un étudiant ne devienne pas « enseignant chercheur », on n’en sortira pas.